Convive ou pique-assiette ?

Organiser des épousailles peut virer au cauchemar pour ceux qui les arrangent ! Convier ceux qui sont en cour, éviter ceux qui ne le sont pas… un doigté certain est hautement recommandé. Concernant la cavalière de Carl-Philipp Bernadotte, prince de son état, les choses ne sont pas évidentes. Emma Pernald ou bien Sofia Hellqvist ? Emma, c’est son ancienne petite amie. Une demoiselle bien sous tous rapports, appréciée de la famille royale, mais délaissée par le prince. Sofia, c’est la nouvelle élue de son cœur, malheureusement pour elle, assez peu appréciée de papa roi et maman reine. Bref, Emma est la bienvenue au mariage de Victoria et Daniel, pas Sofia. Le prince a-t-il son mot à dire ?
Pour la presse, Sofia s’est bonifiée (elle ne pose plus dans les magazines ni ne participe à des télé réalité), elle est devenue « sortable » ; c’est une jeune provinciale… à l’instar de sa future altesse royale, le prince Daniel. La roture pourrait avoir un avenir royal ! Alors, pourquoi ne pas l’inviter ? Elle sent le pâté ?

Exercice de style avant l’exercice du pouvoir. Royal !
La saga du sagascon Bernadotte !

S’en s’agacer, force est de constater qu’une sagabegie d’infos souvent sagalvaudées ferait presque passer l’événement sagalactique du mariage royal pour une sagaléjade. Sagalère de rien, mais se sagargariser ainsi des sagazouillis et des sagamineries colportés par les media confine au sagavage.

Les sagalimatias des sagastrolâtres est un sagâchis pour la sagacité. Un retour à la normale ne sagâchera rien. Sans se sagaspiller en congratulations inutiles, on souhaite au nouveau couple tout le bonheur du monde.
Espérons que les invités n’auront pas d’ennuis sagastriques, que la sagamelle de la sagargotte sera sagastronomique ! Sagalantine en entrée, sagalline Maringo en résistance et sagalette des rois en dessert ! Souhaitons aussi que le cortège emmené par la Sagarde royale ne traînera pas la sagaloche et que leurs saganaches ne s’emballeront pas au sagalop.

Quant aux sagapes qui précéderont la cérémonie elle-même, si la présence d’artistes scandinaves semble évidente, celles de sagaléiques, eu égard à l’origine de la maison Bernadotte, seraient aussi souhaitable, ne serait-ce que pour ne pas passer pour de vulgaires sagallophobes. Lady sagaga sera-t-elle de la partie ?

Sagalamment mais sans sagalvanisation, le contribuable versera sa sagabelle au sagaletas du futur couple royal. Pour le roturier Westerling, passer de sagarçonnière au manoir de Haga, ne relève pas du sagadget, il y sagagnera le titre de son sagagne-pain : son altesse royale le prince Daniel. On lui tire notre sagalurin.